Chère lectrice, cher lecteur,
Quelle semaine, quelle semaine !
Bonjour,
Je suis Nathalie LONGEVIAL, romancière, éditrice externe et coach en écriture. Bienvenue dans ma newsletter : “Vous avez du courrier from Baiona with love”. Nous accueillons aujourd’hui parmi les abonnés à la newsletter : Irène, Émilie, Sylvie, Hed et Mujica.
Lundi, je suis partie dès potron minet pour garder ma petite fille. Nous avons fait des tas de choses dont je ne vous dirais rien, parce que, ce qu’on fait entre nous, reste entre nous. Les prérogatives des grands-mères sont ce qu’elles sont, et comme ce n’est pas à moi d’éduquer cette enfant, nous faisons un certain nombre de trucs inavouables, que ses parents n’approuveraient pas, mais comme ils n’en savent rien, tout va bien. Bref. Mon fils m’a appelé le soir et m’a demandé : “mais vous avez fait quoi ? Elle pique des sprints depuis un quart d’heure ?” Il faut vous remettre dans le contexte : Romy a quinze mois et tout à découvrir. Nous avons couru après un ballon (en vérité c’était pas un ballon, à peine une balle) (Note à moi-même : Penser à lui acheter un ballon), tapé dedans, et comme elle a très vite pigé qu’il fallait qu’elle l’attrape plus vite que moi, elle a commencé à courir… pour ne plus s’arrêter.
Mardi, j’étais crevée. Je ne sais pas si ça a un rapport avec le fait de garder un enfant en bas âge pendant six heures (je crois que oui), mais si c’est le cas, je n’ai qu’une chose à dire aux autres : ne tardez pas trop. Bref.
Mercredi, mon mari m’a demandé de l’accompagner pour visiter une maison. C’est une maladie chez lui. Il passe son temps à imaginer ce qu’il pourrait faire dans telle ou telle maison, et moi, je passe mon temps à freiner des deux pieds. Je suis très bien là où je suis et suis traumatisée par mon précédent déménagement. Bref. Bon, je l’ai tout de même accompagné. Une heure de route après, nous sommes arrivés à Salies de Béarn, nous avons descendu un chemin, sommes passés à côté d’un élevage de poneys (même que j’ai cru que l’un d’entre eux était mort)(j’ai pensé que je détesterai habiter là et risquer de revoir ce spectacle). La maison ? Ah beh, je ne sais pas. L’agente immobilier est arrivée en retard et avait oublié les clés... à Bayonne.
Jeudi, c’était le premier jour du printemps. J’ai pensé que je pourrai aller flâner en ville, mais il pleuvait, bref, j’ai pris un nouveau manuscrit qui vient d’arriver pour un travail éditorial et j’ai bien avancé. Quand j’en ai eu assez, je suis allée faire le tour des librairies de Bayonne (sous la pluie), histoire de vérifier qu’Un Tango pour Doro était bien en place (il l’était).
Vendredi (aujourd’hui, donc) nous avons pris la route vers l’Espagne. Oui, encore. Nous avons avancé tant bien que mal au milieu d’une pluie torrentielle et de bourrasques de vent à faire se décorner les boeufs (non, je n’ai aucune envie de visualiser le truc), et surtout un spécimen tout à fait remarquable d’embouteillage (que j’ai bien visualisé). Bref. Nous sommes restés coincés pendant une heure. Bilan sept heures de trajet au lieu de cinq et demi. Dans une prochaine vie, penser à choisir un lieu de villégiature plus proche de notre région de départ.
Tout ça pour vous dire qu’on a frôlé l’absence de newsletter cette semaine,
Allez je vous embrasse, et vous laisse avec mon nouveau meilleur ami.
À la semaine prochaine,
Nathalie
(écrit en one shot, désolée s’il y a des fautes)
Tu vas encore nous faire envie avec tes photos ! Bref , profites en bien.
J’ai de super souvenirs avec mes grands mères, on ne faisait pas des folies mais on faisait des trucs sur je ne faisait pas avec ma maman quant à ma maman elle est une super grand mère et fait avec ses petits enfants des choses qu’elle ne faisait pas avec nous, d’ailleurs je la préfère dans ce rôle là.