Ceci n'est pas une newsletter #2

Mais vous aurez de quoi lire

Quand j’ai commencé cette newsletter, j’avais dans l’idée de promouvoir mes romans et de vous faire entrer dans mon univers. Je ne vous l’ai jamais caché et je vous avais promis de ne pas en abuser. Dix-huit mois après Rendez-vous à Héyo, me revoilà avec La maison sur la place, son petit frère.

En 2023, vous avez été nombreuses et nombreux à me demander de revenir dans ce village basque typique et utopique, pour y retrouver Sophie, Estéban et Roger.

Me reposer à l’ombre des platanes, laisser divaguer mes pensées entre les ruelles, regarder les enfants jouer à la pala, ça me plaisait à moi aussi, alors, j’ai pris mon clavier sous le bras et j’y suis retournée.

Je me suis assise à une table du Café d’Ici, j’ai siroté une bière fraîche, j’ai regardé le ciel passer par des couleurs allant du bleu à l’argenté, j’ai visité une maison avec une porte jaune et derrière les rideaux, j’ai inventé des vies. Celles de Rose et Hermine, celles de Sacha, Candice et Gorka. Je me suis beaucoup amusée à leur faire vivre des situations rocambolesques où il est question de chants a capella, d’atelier de peinture et de tableaux, de stress post traumatique, d’un chat noir et d’une gaine amincissante.

Grâce à La maison sur la place, vous profiterez de quelques heures de vacances à Héyo. Vous (re)découvrirez les façades rouges des maisons, la place Royale et sa végétation luxuriante, le fronton où tout se passe. Vous regarderez la pluie tomber sans craindre pour votre brushing, et vous rencontrerez Rose et Hermine, deux femmes formidables, liées sans le savoir.

Pitch :
À cinquante ans, Rose souffre d'un syndrome post-traumatique et articule sa vie autour de sa famille, ses rares amis et sa chère routine. Quand elle hérite d'une maison à Héyo, au Pays basque, sa vie bascule. Comment peut-elle hériter d'une maison dont elle n'a jamais entendu parler ? Qu'est-ce que cela signifie ? Que Stéphane, son mari, menait une double vie ?
Contre l'avis de son amie Sandra, elle décide de partir seule à Héyo pour découvrir la vérité.
Cette maison, dans une région où il pleut sans arrêt, pourrait-elle modifier son rapport au monde ?
La maison sur la place, c’est l’histoire d’une renaissance, d’une prise de conscience sur le bonheur quand on croit qu’il a filé, un bonheur auquel il faudrait continuer de croire. Coûte que coûte.

À l’intérieur, vous y trouverez une question qui trotte dans ma tête depuis un certain nombre d’années : combien de temps après la mort de son mari, une femme a-t-elle “le droit” de retomber amoureuse ?

Tout comme Madamfeelgood, Chantal, Céline, Joëlle, Claude, et Marie Aline, mes lectrices de la première heure, vous allez aimer Gorka etRose, tomber amoureuse de Roger, et vous agacer avec Sandra et Martine. Vous allez rire, sourire et parfois pleurer un peu. Les romans sont là pour ça : nous faire vivre un peu plus fort.

Madamfeelgood : via Instagram - “Ce roman est une bulle d'amour, de lumière dans un ciel gris, d'espoir, de bienveillance et de Pays Basque, j'ai beaucoup pleuré et je peux vous dire qu'un rendez-vous à Héyo ne vous laissera jamais indifférent.”

Chantal (via Instagram les_spots_de_maman) : “La maison sur la place c’est aussi un roman plein de suspens qui se lit d’une traite tant on a envie de savoir ce qu’il adviendra de toute cette petite troupe. La fin vous révélera même le secret de la porte jaune.”

Céline (via Babélio): “J'ai eu un gros coup de cœur pour les personnages de Rose et de Gorka, le basque bourru, un peu ours mal léché et maladroit au cœur d'or ! J'ai adoré détester Sandra. Certaines étapes que vit Rose, m'ont émue et bouleversée et m'ont rappelé qu'on peut se relever de tout et être encore plus fort si on arrête de vouloir tout contrôler.

Joëlle : “Livre dévoré !”

Claude : “Quel bonheur de revenir à Héyo et de retrouver des personnages hauts en couleur et tellement attachants.”

Marie-Aline : “Encore une jolie histoire qui se passe au Pays basque !”

Comment m’aider à propulser La maison sur la place en tête de gondole (on a bien le droit de rêver, non) ?

• Profiter du prix tout doux de ce nouveau roman (et défier les algorithmes) : jusqu’à jeudi 23h59 il est à 1,99€ en format numérique.

• Dès jeudi, le commander chez votre libraire préféré au prix de 15,99 € en format broché.

• L’offrir pour Noël (avouez que c’est bien trouvé, non ?) (je peux même le dédicacer)

• Partager cette newsletter avec vos ami.e.s, fans de lecture (et même les autres, notamment ceux qui ne savent jamais quoi offrir à noël)

• Poser un avis ou une note sur les réseaux de lecteurs (Babelio, Amz, Booknode…)(merci, merci, merci de prendre quelques minutes pour le faire car cela augmente la visibilité des livres)

• En parler autour de vous (qu’y a-t-il de mieux que le bouche à oreille ?)

• Si vous êtes libraire, bibliothécaire, que vous animez un club de lecture, que vous êtes influenceuse littéraire ou influenceuse tout court ou que vous préparez un salon du livre, n’hésitez pas à m’inviter, je serai ravie de vous rencontrer et de parler écriture et romans.

Hâte de vous retrouver au coin d’une rue à Héyo, je vous embrasse,

Nathalie.