Moi j’adorais monter et descendre dans ton escalier ( dommage que cette époque où on faisait du yoga soit révolue): on passe, on s’arrête sur un détail une semaine, la semaine suivante un autre. Et toujours le fameux cadre de la scie à pain qui me faisait sourire 🙂.
Quand j’étais ado, il y avait des escaliers chez mes parents. Ils craquaient mais pas toutes les marches. Je m’y asseyais pour mettre mes chaussures et aussi pour discuter avec ma mère. Accessoirement j’y espionnais aussi les conversations!!!
Cette photo est magnifique et ton escalier donne envie. Tu le decris si bien. Dans notre maison de la banquise, j’avais coutume de dire que je vivais dans l’escalier. Celui de la cave, celui qui menait aux chambres et celui qui menait à notre nid . Les enfants en avaient fait leur terrain de jeu : ils pulverisaient le sterimar depuis le premeir etage sur l’autoroute playmobils installee au rez de chaussee, pour mettre en scene l’averse et les accidents de depart en vacances …. Terrible! Quand j’y pense, je trouve miraculeux de n’avoir jamais fait de chute fatale en glissant sur un lego, un playmo, un livre . Il a été le théâtre des crises adolescentes et a vu voler quelques cahiers - de maths- et carnets de correspondance - a signer-
Dans notre nouvelle maison , l’escalier est sombre, il n’est plus qu’un lieu de passage.
C'est plutôt une ode à l'escalier, qu'une complainte, non? Moi j'aime bien les escaliers pour l'aspect sportif, ça muscle :-)
😂
Moi j’adorais monter et descendre dans ton escalier ( dommage que cette époque où on faisait du yoga soit révolue): on passe, on s’arrête sur un détail une semaine, la semaine suivante un autre. Et toujours le fameux cadre de la scie à pain qui me faisait sourire 🙂.
la fameuse histoire du couteau à pain ♥️
Quand j’étais ado, il y avait des escaliers chez mes parents. Ils craquaient mais pas toutes les marches. Je m’y asseyais pour mettre mes chaussures et aussi pour discuter avec ma mère. Accessoirement j’y espionnais aussi les conversations!!!
J’adore ! ❤️
Cette photo est magnifique et ton escalier donne envie. Tu le decris si bien. Dans notre maison de la banquise, j’avais coutume de dire que je vivais dans l’escalier. Celui de la cave, celui qui menait aux chambres et celui qui menait à notre nid . Les enfants en avaient fait leur terrain de jeu : ils pulverisaient le sterimar depuis le premeir etage sur l’autoroute playmobils installee au rez de chaussee, pour mettre en scene l’averse et les accidents de depart en vacances …. Terrible! Quand j’y pense, je trouve miraculeux de n’avoir jamais fait de chute fatale en glissant sur un lego, un playmo, un livre . Il a été le théâtre des crises adolescentes et a vu voler quelques cahiers - de maths- et carnets de correspondance - a signer-
Dans notre nouvelle maison , l’escalier est sombre, il n’est plus qu’un lieu de passage.
Très chouette cette envolée lyrique sur l’escalier !
Heureusement que je n'en ais plus ! Mais j'aimais bien ceux des maisons en ville