Je n’ai pas lu tous tes romans, car je suis une flemmarde , mais j’en ai lu deux . Et j’ai aimé. Alors, tu me motives à poursuivre . C’est vrai ça, pourquoi ne pas avoir poursuivi? Ah, ben tiens peut être parce se ca demande un effort d’aller se renseigner, de se procurer le roman , de se souvenir le moment voulu qu’on voulait précisément lire ce roman et pas un autre . Ca aussi c’est un obstacle pour les ecrvains qui s’autoeditent, le chemin du roman et celui du lecteur sont plus exigeants à croiser! Merci pour ta news letter. Je partage à ma soeur qui est une grande lectrice.
Et oui, ça demande un effort d'aller vers les auteurs "inconnus", ceux qu'on ne voit pas en tête de gondole au supermarché, ni sur un plateau de télévision. Ça demande du courage aussi : ne risque-t-on pas d'être déçu si on achète un roman que les éditeurs n'ont pas voulu ? Pour lire beaucoup d'auteurs indépendants, je ne suis pas plus déçue que quand je lis des auteurs encensés par ailleurs. Parce que ce serait merveilleux si tout ce qui était édité valait le coup d'être lu. Alors un bon point pour nous : nos livres sont souvent bien moins chers que les autres. Ce qui rend la possibilité de vivre de sa plume encore plus complexe... bref.
Heureusement que l'on ne me pose jamais la question, je ne saurais pas quoi répondre à part "parce que cela me fait plaisir" (ce qui est une excellente raison). Ce n'est même pas pour promouvoir mes romans, puisque j'en parle très peu (mais ce que tu dis sur le difficile chemin pour se faire connaître, j'aurais pu l'écrire aussi) ! Il faut dire que je suis un peu une calamité niveau promotion ^^
C'est vrai que j'aime beaucoup les écrire, mes newsletter. Tu as raison, il en va aussi de se faire plaisir. Ça me rappelle le temps des blogs. J'alimentais le mien quatre fois par semaine. Quant à faire de la promotion, je crois que je n'ai pas le choix. Si j'écris, c'est pour partager, pour ouvrir des portes et sortir par la fenêtre, c'est pour montrer un autre côté du monde, une autre voie possible. Et être lue ^-^
Ah oui, moi aussi, bien sûr, c'est juste que je ne suis pas très douée à ce niveau-là ! Pour le blog, oui, c'est ce que je disais l'autre jour, il reste essentiel pour moi, c'est mon oxygène !
Bonjour Nathalie, Je découvre votre newsletter. J'aime beaucoup vous lire. J'ai transmis à 2 amies, l'une journaliste à Paris, l'autre vivant à Guéthary. J'espère qu'elles s'inscriront ;-) Très bonne fin de semaine. Je vous embrasse aussi. Murielle
Trop bien !! Il me tarde le 12 JUIN ❤️
<3
On a toujours besoin de reconnaissance éternelle 😃
Je n’ai pas lu tous tes romans, car je suis une flemmarde , mais j’en ai lu deux . Et j’ai aimé. Alors, tu me motives à poursuivre . C’est vrai ça, pourquoi ne pas avoir poursuivi? Ah, ben tiens peut être parce se ca demande un effort d’aller se renseigner, de se procurer le roman , de se souvenir le moment voulu qu’on voulait précisément lire ce roman et pas un autre . Ca aussi c’est un obstacle pour les ecrvains qui s’autoeditent, le chemin du roman et celui du lecteur sont plus exigeants à croiser! Merci pour ta news letter. Je partage à ma soeur qui est une grande lectrice.
Et oui, ça demande un effort d'aller vers les auteurs "inconnus", ceux qu'on ne voit pas en tête de gondole au supermarché, ni sur un plateau de télévision. Ça demande du courage aussi : ne risque-t-on pas d'être déçu si on achète un roman que les éditeurs n'ont pas voulu ? Pour lire beaucoup d'auteurs indépendants, je ne suis pas plus déçue que quand je lis des auteurs encensés par ailleurs. Parce que ce serait merveilleux si tout ce qui était édité valait le coup d'être lu. Alors un bon point pour nous : nos livres sont souvent bien moins chers que les autres. Ce qui rend la possibilité de vivre de sa plume encore plus complexe... bref.
Heureusement que l'on ne me pose jamais la question, je ne saurais pas quoi répondre à part "parce que cela me fait plaisir" (ce qui est une excellente raison). Ce n'est même pas pour promouvoir mes romans, puisque j'en parle très peu (mais ce que tu dis sur le difficile chemin pour se faire connaître, j'aurais pu l'écrire aussi) ! Il faut dire que je suis un peu une calamité niveau promotion ^^
C'est vrai que j'aime beaucoup les écrire, mes newsletter. Tu as raison, il en va aussi de se faire plaisir. Ça me rappelle le temps des blogs. J'alimentais le mien quatre fois par semaine. Quant à faire de la promotion, je crois que je n'ai pas le choix. Si j'écris, c'est pour partager, pour ouvrir des portes et sortir par la fenêtre, c'est pour montrer un autre côté du monde, une autre voie possible. Et être lue ^-^
Ah oui, moi aussi, bien sûr, c'est juste que je ne suis pas très douée à ce niveau-là ! Pour le blog, oui, c'est ce que je disais l'autre jour, il reste essentiel pour moi, c'est mon oxygène !
je comprends :)
Bonjour Nathalie, Je découvre votre newsletter. J'aime beaucoup vous lire. J'ai transmis à 2 amies, l'une journaliste à Paris, l'autre vivant à Guéthary. J'espère qu'elles s'inscriront ;-) Très bonne fin de semaine. Je vous embrasse aussi. Murielle
Bonjour Murielle, c'est très gentil de votre part. Je croise les doigts alors ;) À très vite
Pour ma part je n'ai pas decouvert vos romans uniquement la newsletters depuis quelques semaines mais promis je vais bientôt y remédier
Bonjour Sonia, Alors, j'aurais réussi mon "coup": vous embarquer dans mon univers ;) merci beaucoup de votre confiance
;)